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Casamance : soutien de la candidature de Michaëlle Jean pour remplacer Abdou Diouf « le tyran » à la tête de la francophonie

Casamance : soutien de la candidature de Michaëlle Jean pour remplacer Abdou Diouf « le tyran » à la tête de la francophonie

Toute la communauté francophone vibre au rythme du sommet de la Francophonie qui a lieu cette fin de semaine à Dakar, la capitale du Sénégal candidat retenu malgré les violations des droits humains dans la région indépendantiste de la Casamance.

 La nomination controversée d’Abdou Diouf à la tête de la francophonie n’a jamais était du goût des casamançais qui ne peuvent comprendre comment la Francophonie pouvait légitimer à sa tête une personne responsable de massacres contre des francophones fussent-ils casamançais ou autres. Rien d’étonnat que pendant ce règne de Diouf, les violences n’ont cessé de s’étendre dans toute l’Afrique francophone : République Démocratique du Congo, Côte d’Ivoire, Congo-Brazaville, Mali, Niger, Tchad, Burkina Faso, Cameroun, Guinée et même en Casamance.

 Le plus important ce weekend, est de choisir un secrétaire général qui peut relever les défis du XXI siècle : Droits de l’homme, stabilité économique et financière allant dans le sens de la diminution de la pauvreté, l’éducation et la santé. Le virus Ebola doit être combattu avec tous les moyens.

Il y a donc nécessité de reconduire un secrétaire général crédible et écouté qui puisse garantir à l’Organisation une viabilité financière tout en accompagnant les États membres à relever les défis ci-haut cités.

 L’organisme, qui n’a jamais été dirigé par une femme, est mûr pour une telle chose et donner cette fonction à l’ex-gouverneure générale du Canada  Madame Michaëlle Jean enverrait un message fort au monde entier et surtout au Commonwealth.

Les autres quatre candidats africains : Jean-Claude de l’Estrac, ex-ministre des Affaires étrangères (Ile Maurice), Henri Lopes, ex-premier ministre (Congo-Brazzaville),  Pierre Buyoya, ex-président (Burundi) et  Agustín Nze Nfumu, ancien ministre (Guinée Équatoriale) n’ont pas assez de poigne pour exercer une réelle influence sur l’échiquier international et pour se tenir debout, sans complexe, devant les acteurs importants de la gouvernance mondiale et donner le point de vue de l’OIF sur la marche du monde.

Michaëlle Jean aussi une fille de la diaspora africaine en est capable et elle est la préférence de la Casamance et de ma majorité des francophones.

Emile Tendeng

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