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Casamance : Quand Ahamed Abass Saïd le comorien s’attaque aux observateurs et journalistes René Capain Bassène et Babacar Justin N’Diaye

Casamance : Quand Ahamed Abass Saïd le comorien s’attaque aux observateurs et journalistes René Capain Bassène et Babacar Justin N’Diaye

Au cours du séminaire  de soit disant formation des combattants aux techniques de négociations qu’il a tenue a Sao Domingo le 18 février 2014 veille de la venue du président Macky Sall à Ziguinchor,le franco –comorien Ahamed Saïd Abass s’est attaqué aux journalistes Babacar justin N’diaye et René Capain Bassène et a tenté de les mettre en mal sans succès avec les combattants du MFDC.

Selon une de nos sources présente à ce séminaire,  Abass Ahamed Saïd a dit aux combattants qu’il y a des gens qui ne le connaissent pas, qui ne savent pas ce qu’il est entrain de faire, mais qui cherche à saboter son travail en racontant des contre vérités juste pour le décrédibiliser.  Ces gens ne sont autres que monsieur Babacar Justin Ndiaye mais aussi René Capain Bassène dont il a montré la photo aux combattants ignorant qu’ils le connaissent bien avant lui parce que Capain dans ses recherches est entré en contact avec eux.

Ne pouvant pas entrer en contact avec Babacar Justin Ndiaye, nous vous faisons lire son article avant de vous donner l’intervention de René Capain Bassène sur ce point précis.

« Laser du lundi : L’accalmie cache les micmacs en Casamance (Par Babacar Justin Ndiaye)

 Les dernières heures de décembre 2014 – trente-deuxième anniversaire de l’ouverture des hostilités en Casamance – vont-elles hâter le crépuscule de la crise et, par incidence, précipiter l’aube d’une paix définitive en 2015 ? Voilà une interrogation qui renferme un vœu ardent, profond et partagé. Un vif souhait qui se délite, malheureusement, au vu et au contact d’une conjoncture calme en trompe-l’œil, mais viciée par des grenouillages et des micmacs tous azimuts.   En effet, la paix en Casamance n’a pas que des amis et des artisans. Elle a aussi ses aventuriers, ses charlatans, ses bailleurs (de fonds), ses bricoleurs et ses magiciens etc. Toute une faune d’acteurs aux desseins non dessinés. Donc illisibles. Et, surtout, ruineux pour la feuille de route gouvernementale. Parmi ces intermédiaires atypiques et hors-normes, on identifie le Centre pour le Dialogue Humanitaire (Mediation for Peace) basé au 74 Riverside Drive à Nairobi, au Kenya. En abrégé, le « HD » établi dans la capitale kényane, qui n’est rien d’autre que l’antenne africaine du « HD » de Genève, c’est-à-dire la maison-mère située en Suisse. Actif dans le dossier casamançais, depuis 2013, le « HD » brille par son profil ambigu (ONG ou Institution ?) et sa posture concurrente vis-à-vis de l’autre champion de l’intermédiation, à savoir la communauté près le Vatican de Sant‘Egidio. Représenté au Sénégal par le Comorien Saïd Abass Ahamed, le « HD » a des liaisons très étroites – protocole, partenariat ou contrat ? – avec le COS qui, par le biais des réformes sécuritaires en rafales initiées par le Président Macky Sall, est maintenant dilué dans la Délégation Générale au Renseignement National (DGRN) coiffée par l’Amiral Farba Sarr. Derrière le « HD » se profile la silhouette de l’Union Européenne (UE) qui a décaissé 3 millions d’euros, autour de 2 milliards CFA, pour restaurer la paix en Casamance. Conséquence : le Comorien de Dunkerque (il est français et comorien) est le plus riche, le plus envié et le plus couru des faiseurs de paix dans le Sud du Sénégal.     Paradoxalement, Abass Saïd Ahamed n’est pas un « casamançologue ». Loin s’en faut. Ma conversation-marathon avec lui dans un hôtel de la place (il était armé d’un stylo, d’un bloc-notes et intarissable en questions) m’a convaincu que le consultant du « HD » arrive d’une autre planète. Mais son intelligence des situations et ses arguments financiers lui ont ouvert des portes voire des boulevards en Casamance et en Guinée-Bissau. Seule, la Gambie du Président maladivement méfiant, Yaya Jammeh, reste hermétiquement fermée au carrousel du Comorien. Un accès très peu envisageable ; puisque le territoire gambien est, déjà, le sanctuaire de Salif Sadio et la chasse gardée de l’autre facilitateur : Sant’Egidio. Qu’à cela ne tienne : l’équipe de Saïd est prête. D’autant plus disponible et  motivée que celui-ci dispose de 3 millions d’euros, recrute, paie et oriente aisément. Sa première recrue est le Colonel (CR) Fabouré membre du Groupe de Réflexion et de Recherche de la Paix en Casamance de Robert Sagna.  Cet officier – en l’occurrence le Colonel Fabouré, désormais excommunié et écarté du staff de Robert Sagna – est un natif de Bignona qui a connu le Comorien en République Démocratique du Congo où l’ex-MONUC devenue MONUSCO travaillait étroitement avec le « HD ». Les autres collaborateurs du consultant Saïd Abass Ahamed sont issus de la bande des combattants fatigués, vieux et véreux qui ont pignon sur rue à Ziguinchor. Il s’agit des rebelles de salon Youssou Coly et Louis Tendeng. A Dakar, c’est le maquisard usé et fossilisé Kamougué Diatta – il vit aux Maristes 2– que le « HD » a recyclé dans la quête de paix. Sous ce nouveau manteau, le vétéran Kamougué fait la navette entre Ziguinchor et Dakar. A Bissau, l’expert dépêché par Nairobi et par Genève avait un contact voire un complice de taille : le ministre de l’Intérieur Boché Kandé (limogé depuis le 2 décembre) pour des motifs justement non étrangers à son attitude vis-à-vis de la mission de paix du « HD » dans le secteur de Sao Domingo, et à proximité des bases du MFDC. Un rapport succinct – relatif aux incidents entre l’escorte du ministre Boché Kandé et les rebelles casamançais, le long de la frontière sénégalo-guinéenne –  a été remis au Président José Mario Vaz, par la Sécurité d’Etat de Guinée-Bissau. Rapport qui s’est révélé finalement fatal à l’ex-ministre de l’Intérieur, un peu trop collaborateur et trop disponible à l’égard du « HD ».    Avec l’équipe que voilà, Abass Saïd Ahamed intensifie ses actions, en Casamance et en Guinée-Bissau,  au travers d’un programme qui comporte deux volets : la gestion des conflits et la technique de négociation. La démarche est tellement surréaliste qu’elle a provoqué une réelle rigolade un peu partout ; notamment chez l’élite casamançaise (anciens ministres, actuels députés et cadres chevronnés) assez imprégnée des réalités locales et suffisamment avertie de la marge restreinte de l’Etat central sur les schémas de sortie de crise. Mais rien ne stoppe le Franco-comorien Abass Saïd Ahamed qui multiplie les séminaires dans et avec le maquis. Pour cela, il puise les participants dans le vivier rebelle de Diakaye et, surtout, dans le bastion de Goudomp commandé par « Compasse », le tombeur et héritier du chef rebelle démobilisé Ousmane Niantan. En revanche, le dur à cuire César Atoute Badiatte refuse de s’engager. Et exige de connaitre, avant tout, les termes du protocole qui lie Dakar et Genève. Le puissant chef du maquis de Kassolol, César Atoute Badiatte, veut-il y voir clair, pour en empocher beaucoup ? Possible. Avec le filon d’or casamançais –  aux allures de festin sans fin, les fonds sont considérables, mais les avancées ne sont pas concrètes. A ce propos, le modus operandi du « HD » de Genève est non orthodoxe et choquant. Le Franco-comorien est, en effet, le prestataire et l’ordonnateur exclusif des dépenses des fonds libérés par l’UE, mais  inaccessibles à l’Etat. Alors que le conflit se déroule sur le sol sénégalais. En clair, Abass Saïd Ahamed travaille, apprécie son travail et se paie. Ça se passe au nez et à la barbe d’un gouvernement où siège un ministre de la Bonne Gouvernance. Des sources officielles mettent en avant l’alibi des lourdeurs bureaucratiques, pour justifier le diktat de Genève.      Aux dernières nouvelles, cette activité débordante de l’émissaire du « HD » (sans rapports ni procès verbaux) commencerait à agacer en haut lieu ; singulièrement dans les milieux sécuritaires.  Mais la devise des capitalistes est inoxydable : « celui qui paie, commande ». En effet, l’Union Européenne paie, Genève exécute via Nairobi et le Sénégal, pays souverain, se désole. Sans suite. Pourtant, les motifs de réserve voire de vigilance, ne manquent pas. Car l’expert en paix fait des va-et-vient incessants entre le Sénégal et la Guinée-Bissau, comme on le ferait entre deux…moulins communicants. Pire, les grenouillages et les micmacs se déroulent sur fond de recrutements ininterrompus du MFDC. Une rébellion très douée dans l’exploitation stratégique du chômage des jeunes, dans une région censée être le banc d’essai, c’est-à-dire le laboratoire de ces nouveaux pôles de développement préfigurés par l‘Acte 3 de la Décentralisation. Pour l’instant,  Acte 3 et pôles de prospérité sont au stade poétique.    Navrant de voir à l’œuvre, des charlatans de la paix (Sant’Egidio de Rome et HD de Geneve) dans une Casamance traitée comme un filon d’or, par des ONG, des centres et autres instituts douteusement philanthropiques. Et, de surcroit, inefficaces ! Comment le pays de Famara Ibrahima Sagna, Moustapha Niasse, Ibrahima Fall, et autre Général Lamine Cissé (des orfèvres du dégel et du rapprochement tant au Sénégal que dans le continent) peut-il confier le destin de sa province méridionale à un « expert étranger » qui lit les livres de Paul Pélissier, Antoine Tendeng, Christian Roche, Louis-Vincent Thomas et Oumar Diatta (j’ai préfacé l’ouvrage de ce dernier) pour comprendre la Casamance, avant d’y construire la paix ? C’est kafkaïen, surréaliste et vaudevillesque. Et in fine très irresponsable, car cette accalmie – un véritable somnifère –  est fragile et anecdotique. Les initiés et les férus de mysticisme racontent que nous la devons à la prêtresse Assète Emile, l’une des figures impressionnantes du Bois-Sacré, originaire d’Oussouye. Rien à voir avec l’usurpatrice Mariama Guigoz. Les habitudes ont la peau dure. On laisse un abcès national aussi purulent entre des mains d’un consultant international. Et l’on s’investit âprement dans le débat politicien : faut-il faire feu sur l’alliance ou doit-on garder foi en la coalition Benno Bokk Yakaar ? Décidément, ce sont les Partis et les coalitions de Partis qui passent avant la Patrie minée par un cancer sur son flanc sud. Toutefois, l’espoir n’est pas totalement  perdu. A l’occasion de la journée des institutions, le Président de la république a ordonné que le Premier ministre aille, deux fois par mois, devant l’Assemblée nationale, informer les députés et discuter avec eux, de tous les sujets. La balle est le camp des élus du peuple qui auront ainsi l’obligation et le loisir de savoir ce que masque la sombre et surchargée accalmie qui prévaut en Casamance ».

En lieu et place d’apporter une réponse à cet article qui dévoile beaucoup de choses sur lui et son groupe, des informations qui mettent à nue ses mensonges devant les combattants, il a préféré garder le Silence et a tout fait pour obtenir une autre rencontre afin de pouvoir faire croire à son bailleur l’union européenne et les autorités du Sénégal qu’il est encore bien écouté et accepté par les combattants.

Et du coté des combattants, il a expliqué que Babacar Justin Ndiaye et René Capain Bassène sont deux journalistes observateurs de la crise en Casamance qui sont entrain de chercher à le salir et a le décrédibiliser. Ainsi il a cherché à mettre en mal René Capain Bassene avec les combattants. Il est allé jusqu’à chercher sa photo sur le net ; l’imprimer en grand format et la montré aux combattants. A quelle fin ? Nous attendons une réponse de sa part.

Joint au téléphone René Capain Bassène nous a livré la réponse suivante 

« Je suis étonné par cette information. Mais je ne suis pas surpris non plus car depuis un certain temps, je subis des menaces et chantages en longueur de semaines. Je comprends que je dérange de par mes écrits. Pour revenir à Saïd ou HD, je précise que je ne le connais pas, je ne l’ai jamais vu. Je ne peux pas vous dire comment il est. Contrairement à lui, je n’ai jamais vu sa photo ni cherché à l’avoir car sa personne ne m’intéresse pas donc je ne peux pas par rigueur professionnelle m’attaquer à sa personne. J’avoue que je  suis vraiment sidéré qu’au cours d’un séminaire de formation, il ait pris de son temps pour parler du pauvre René Capain Bassène qu’il a présenté comme quelqu’un qui cherche à saboter son travail ; et mieux ou pire il a pris soin de recueillir ma photo sur le net pour la montrer aux combattants ignorant que certains d’entre eux me connaissent déjà pour les avoir rencontrés dans le cadre de mes recherches.

Ce qu’il a oublié de faire ou qu’il a refusé de faire c’est de leur montrer le document comportant ce qu’il qualifie d’attaques ou autres fausses allégations que j’ai proférées à son encontre. Je suis un journaliste de formation. Je me respecte et respecte ce qui me lisent et qui s’informent à travers mes modestes contributions. Je tiens à ma crédibilité et à être responsable dans ce que je fais. Je ne suis à la solde de personne pour chercher à m’attaquer à lui. Je suis entièrement indépendant. Je n’ai aucun bailleur comme eux et je suis en contact avec aucun groupe. Je suis neutre envers tous. C’est pourquoi je garde ma liberté d’expression. Jamais je ne me suis inscrit dans une logique de m’attaquer à quelqu’un. J’ai toujours donné mon avis sur l’évolution du processus et notamment sur les facteurs le bloquant. Concernant Abass Saïd, j’ai dit et je répète que sur prés de dix groupes d’acteurs évoluant dans le cadre de la recherche de la paix en Casamance, il n’y a que trois qui ont accès aux combattants : le groupe de Robert Sagna, celui de Abass Sead et Sant Egidio. J’ai aussi dit et je maintiens que ces trois groupes se sont partagés le maquis : Robert Sagna ne travaille uniquement qu’avec Cesar Atoute Badiate, Abass Saïd avec les groupes de Compass et de Lamarana et Sant Egidio avec Salif Sadio. Aucun de ces groupes n’a accès aux autres factions. Ces groupes de facilitateurs se livrent une rude concurrence, ils sont aussi divisés que le MFDC et se mènent une guerre qui ne dit pas son nom, ou les coups bas et les combines entre eux ont un effet aussi néfaste que celui des armes car ils ont contribué d’avantage à écartelé les différentes factions combattantes du MFDC. C’est mon point de vu et je n’ai pas cité que Saïd.

Mes écrits m’ont valu plusieurs menaces, et c’est souvent des gens qui au lieu de s’attaquer à mes propos et de les « démonter » puisqu’ils en ont la possibilité, ont cherché à m’intimider où à me faire taire. J’ai reçu des insultes, j’ai été traité de tout : de nullard, de malveillant et même de rebelle par les partisans d’un groupe qui sans doute se reconnaitront. Cette fois-ci c’est autour de Saïd, mais  c’est surprenant qu’un consultant de sa trempe, se soit débrouillé pour avoir ma photo avec pour unique  but de  la montrer aux combattants. En le faisant que cherchait –il concrètement ? Que je sois intimidé ou peut être même tué ? Pourquoi ne peut-il pas me répondre par voix de presse ou m’amener en justice si réellement j’ai diffamé ?

Pour clore, je tiens à dire à Saïd que moi René Capain Bassène, je n’ai pas le même objectif que lui concernant le processus de paix en Casamance. Lui et moi n’avons de commun que la même cible. Je ne prétends pas jouer le même rôle que lui. Il a ses rivaux ou ennemis si je peux les qualifier ainsi, qu’il ne se trompe pas de cible. Pour ce qui me concerne qu’on me tue, cela n’ajoutera en rien au processus de paix ou que je vive cela n’enlèvera rien au processus de paix et si je dois mourir parce que je donne mon point de vu sur certains aspects de la gestion du processus de paix alors je mourrai et je mourrai dignement parce que je n’aurai pas menti, ni accusé quelqu’un à tort. Je ne suis pas quelqu’un qui parle pour parler. Je ne connais absolument rien de la crise, mais je maitrise ce que je dis c’est pourquoi je refuse d’utiliser des pseudo afin de m’assumer pleinement.

Je l’invite enfin à remettre aux combattants les documents où j’ai cherché à saboter son travail ou bien de les faire publier.  Je ne fais qu’écrire et que je n’ai aucun contact particulier avec les facilitateurs dont finalement  je  me suis rendu compte que je suis l’ennemi principal, celui qu’il faut faire taire…jusqu’à chercher à me mettre en mal avec les combattants. Mais en tant que croyant, je sais que tous lui et moi, nous serons un jour appelés à quitter ce bas monde et  quelque soit les conditions dans lesquelles cette mort interviendra une mort est une mort ».

Aux lecteurs voici encore une bassesse des vendeurs de paix en Casamance.

Notre interlocuteur combattant nous a dit : « Saïd nous prend comme des abrutis, il a omis volontairement de nous dire qu’il a signé un protocole l’amiral Farba Sarr chef des renseignements du Sénégal.  Il ne nous a pas dit qui est son bailleur de fonds, qui le paye, à qui il rend compte et qui le paye. »

Il conclut : « Concernant Babacar Justin Ndiaye, il nous dit qu’il écrit sous l’influence de Robert Sagna uniquement dans le but de le  décrédibiliser. Nous ne sommes pas pressés. Le jour viendra où il comprendra ce qu’est la Casamance et qui sont réellement les casamançais ? »

Kondiarama

 

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Commentaires (3)

  • CANADA

    J’ai pris le temps de lire Babacar Justin Ndiaye dans la préface du livre de feu Oumar Daitta, un livre, qui du reste, est interdit de vente au Sénégal. J’ai également lu son article avec intérêt lorsqu’il parut dans Dakaractu. Dans son dixième paragraphe, s’interrogeant sur la méconnaissance de la Casamance par Abass Saïd Ahamed, je le cite : « …un « expert étranger » qui lit les livres de Paul Pélissier, Antoine Tendeng, Christian Roche, Louis-Vincent Thomas et Oumar Diatta (j’ai préfacé l’ouvrage de ce dernier) pour comprendre la Casamance, avant d’y construire la paix ? ». Voilà que ce dernier vient de lui raison en voulant s’en prendre à notre René Capain Bassène. Nous avons connu toute sorte de mensonge et d’injustice sur ce dossier avant que de dignes fils de la Casamance ne viennent à la rescousse d’un peuple longtemps martyrisé, mais un peuple qui n’a jamais cédé et jamais failli de défendre la liberté, la justice et ses valeurs. Quelque soit la portée de ta mission en Casamance, ce serait très grave et hasardeux de vouloir s’attaquer aux personnes qui sont désormais les yeux et les oreilles d’un peuple longtemps abusé par des étrangers.

    Béni, soit notre René Capain Bassène !!! Merci Samboune.

    Vive la Casamance LIBRE!!!

  • Nianthio

    Ce comorien doit laisser la Casamance en paix et s’occuper de ses Comores qui les l’un des pays au monde qui a subit le plus de coups d’état. N’est -il pas une des personnes exilée en France après le coup d’Etat perpétré par le français Bob Denard contre Saïd Mohamed Djohar en septembre 1995 qui est son parent ?
    Depuis des coups d’etats se succèdent , le dernier en 2013 après ceux de 1997, 2000, 2001 etc…. S’il y a nécessité de dialogue humanitaire il doit balayer devant sa propre porte. Alors mr. Sa!id laisser en paix la Casamance et rejoigner dialoguer avec vos populations de Kandani, de Moroni qui sont en panne de conversation !!! Ne ne voulons plus de toi en Casamance. Nous n’allons pas le répéter……

  • samboune

    j’intrerviens juste pour apporter mon encouragement et mon soutien au jeune René capain Bassene. ainsi apres les menaces et injures des élements du groupe de Robert sagna qui avaient trnté de le mettre en mal avec les autorités senegalaises; c’est autou de Saed Ahmed Abass de chercher à le mettre en mal avec les combattants. Pour l’un ou l’autre groupe, le but est de le reduire au silence par intimidation ou par liquidation physique. j’ai beaucoup apprecié la reaction de Capain dans l’article. il n’a pas vexé dans les injures ni la calomnie, il a reitéré ses propos et a invité Saed a sortir les articles ou il l’aurait attaqué. A defaut il l’a aussi invité a l’amener en justice s’il s’avére qu’il a dit des contre vérités sur lui.
    j’étais convaincu de la neutralité de Capain; mais a partir de son intervention, mon sentiment est plus que renforcé.
    Capain dit avoir compris qu’il derange de par ses modestes contributions. je dis que c’est contributions sont certes modestes , mais tres pertinents et importants car depuis bientot deux ans il a chngé sans le savoir la maniere d’informer et de débattre sur le dossier casamançais. il a pris le temps de chercher et il est tres bien informé. son fort est comme il a eu une fois a le dire qu’il ne fait pas des analyses, mais il fonde ses propos sur des faits prouvables. Capain a mon avis joue son role de journaliste et eclaire aussi bien les autorités senegalaises, les bailleurs, le MFDC et les populations civiles que nous sommes.
    Pourquoi vouloir le faire tuer?
    Dieu merci, je ne crois pas que c’est Un franco-comorien qui fera tuer un digne fils de la casamance par des casamançais. Capain a ses lecteurs partout a travers le monde. tous ceux qui s’interessent au conflit en casamance le lisent et l’opinion est pris a temoin. s’il lui arive quelque chose, la situation en casamance sera compliquée. elle est revolue cette epoque ou on faisait tuer des gens sans jugements prealable et sans que rien ne s’en suit. Said veut faire éliminer capain pour arriver a ses fins.
    Nous demandons a capain de rester serein et lui disons qu’il peut compter sur le soutien, la solidarité et la vigilance de tout le monde. je lui demande de continuer dans sa dynamique d’informer juste et vrai, sans verser sur des attaques et autres injures. de rester calme.

    A babacar justin Ndiaye je conseille de prendre au serieux ces menaces et de chercher a rencontrer Abass Said pour explications. Saed veut priver au senegalais de justin Ndiaye qui a travers ses interventions aide l’opinion a comprendre certaines choses dans le conflit en Casamance. Justin a ecrit un artile tres professionnel sur SAID et le processus de paix de façon général. il a signé et assumé, pourquoi Saed ne l’a-til pas répondu ? pourquoi est -il allé jusu’a Sao domingo où il a profité d’un séminaire pour chercher a le mettre en mal avec les combattants? justin N’diaye a toujours été lu par le MFDC ce n’est pas Sead qui va le leur faire connaitre.
    Fambondy, kankouran,Koupo di boudody et tous les autres, levons nous pour proteger ce jeune et stopper ces mauvaises pratiques. vous me direz que Capain c’est mon chouchou, mais c’est aussi un jeune qui ne laisse personne indifferent de part ses interventions.
    de toute maniere des decisions sont entrain d’étre prises. Ainsi apres les jeunes recrutés et presentés a Dakar comme etant des combattants auto demobilisés par Sead et le groupe de l’amiral Farba Sarr, l’heure est venue pour eux de s’attaquer aux journaliste qui ne font pas leur affaire.
    je reviendrai bcp plus en details sur ahmed Abass Saed ce riche franco -comorien, le plus riche des messieurs casamance

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